2016.

Le jeudi 15/12/2016, le prix Goncourt 2016 pour son roman « Chanson douce », la Franco-Marocaine, journaliste et écrivaine Leïla Slimani eut rencontré ses lecteurs en séance de dédicace à la librairie « L’Ombre blanche » de Toulouse, 50 Rue Léon Gambetta. Dans une atmosphère paisible et silencieusement favorable pour des grandes séances de dédicace, la journaliste et écrivaine s’était montrée à la hauteur ou bien à l’attente des lecteurs et des clients (acheteurs » de cette indépendante librairie de la ville rose. Racontée par le journal toulousain en ligne « Regards d’Africains de France » pour une interview écrite qu’il publiera dans l’avenir, Leïla Slimani qui a une origine africaine se dit heureuse de passer un bon moment de dédicace avec les lecteurs de cette grande ville française dans un espace littéraire où les conditions pour des tels événements sont réussies, surtout que sa sécurité était bien assurée par des professionnels agents de Sécurité. Leïla Slimani, née en 1981, avait grandi à Rabat, au Maroc(en Afrique), dans une famille aisée. Son père, né à Fès, était banquier, qui a fait ses études en France, puis est retourné au pays natal pour devenir secrétaire d’Etat, dans les années 1970.Malheureusement, il est mort en 2004. Sa mère, d’origine Alsacienne et Algérienne, a été une des premières femmes médecins du pays. Leïla Slimani avait un temps envisagé de faire du cinéma, avant de prendre conscience qu’elle était « une comédienne médiocre ». Dans une école de commerce, elle fait la connaissance d’un journaliste travaillant à « L’Express » qui lui propose un stage en presse écrite. Et c’est ainsi qu’elle devint journaliste, puis entre à « jeune Afrique », l’un des journaux les plus lus de la diaspora africaine.

Rédaction/17/12/2016 à Toulouse